Jusqu'au XVIIIe siècle, seules les déjections du bétail pouvaient fumer et amender les terres agricoles.
Vers 1840, le chimiste allemand Liebig montre que les plantes sont principalement constituées de potasse, de phosphore et d'azote. Les engrais artificiels entrent alors sur le marché,
bientôt suivis par les herbicides et les insecticides. Les rendements augmentent donc considérablement.